mardi 27 avril 2010
Linda - Blog et libellés
http://integration-lindaelizabeth.blogspot.com/
samedi 17 avril 2010
LINDA - Croquis
PS: je sais que l'image est petite mais sinon elle rentre pas...mardi 13 avril 2010
LINDA - PORTES
mercredi 7 avril 2010
LINDA - Mise À Jour 6 Avril
Mon projet devrait être, selon moi, un peu plus avancé mais puisque j’ai réussi à clarifier plusieurs aspects qui m’empêchaient d’avancer, les choses vont commencer à aller vraiment vite.
Cette semaine je devais prendre les photos de portrait flou et de prise de vue pour les montages. Elles ne sont pas encore faites mais j’ai déjà prévu mon temps cette semaine pour cela.
Je dois identifier avant la fin de la semaine, les portes qui m’intéressent pour afficher mes impressions.
La plupart des points sont maintenant décidé et organiser, ne manque plus qu’à travailler fort pour tout accomplir à temps.
Je sais comment je vais illustrer ma recherche (de façon très claire et précise) et où les impressions vont être affiché. Je sais aussi comment faire mes photos et mes modifications avec Photoshop.
Il y aura 3 sortes d’impressions :
1. Portrait flou
-Personne non reconnaissable
2. Montage de visage
-Plusieurs personnes non reconnaissable formant un tout
3. Foule floue
-Environnement fixe avec personnes floues
Sur les impressions sera surement écrit des phrases et des textes, peut être même des mots.
J’aimerai afficher les impressions de foules proche ou dans les sorties et entrés de l’école ainsi que dans des fenêtres.
Celles de montages de visage dans le corridor (celui déjà spécifier) car elles formeront un tout. Il y en aura 9 avec quelques différences et seront surement de format carré. J’aimerais peut être trouver un autre mur mais cela reste à voir aussi avec le nombre d’impressions.
Celles avec des portraits flous sur les portes d’escaliers, de toilettes et de classe.
LINDA - Échéancier Mise à Jour
Semaine 9 :
· Trouver une façon de représenter ma recherche d’un point de vue visuel. (Faire des croquis, brainstorming, essais techniques)
Semaine 10 :
· Finaliser les préparatifs pour commencer mon travail visuel (terminer mes croquis)
· Commencer à prendre des photos pour faire des tests
· Prendre des photos de portraits flous
· Prendre des photos de portrait (avec différents angles et point de vue) pour faire mes montages (ceux avec des visages et des parties de visage qui deviennent impossible à reconnaître)
· Identifier avec des photos les portes où je désire afficher mes affiches
Semaine 12 :
· Prendre des photos de foules (Environnement fixe mais personnes floues)
· Faire les modifications Photoshop
· Travailler sur les textes
· Faire quelques tests à la reprographie (3 ou 4)
JEI du 21 et 22 avril :
· Terminer toutes les retouches Photoshop
· Envoyer à la reprographie (TOUT)
Semaine 13 :
· Lundi le 26 avril : installer les affiches
· Mardi le 27 avril : Présentation devant jury
Semaine 14 :
· Remise du texte critique et discussion
mardi 6 avril 2010
Moi et ma mémoire: Compte rendu (semaine 11)
mardi 30 mars 2010
LINDA - Lieu de présentation
1. Linda Chevalier
2. Individualisme et individus
3. Mon œuvre sera une suite d’impression photographique de dimension de 24x36 ou de 18x24 pouces (APPROXIMATIVEMENT). Il y en aura (pour l’instant) environ 6, max 8, impressions. Il seront présenter surement à l’horizontal, de la gauche à la droite. Elles seront de format portait ou paysage.
Ex :
| Impression 1 | Impression 2 | Impression 3 | Impression 4 | Impression 5 | Impression 6 | Impression 7 |
4. Je souhaiterais avoir un couloir pour avoir un long mur. Il n’y a pas de nécessité à avoir deux murs se fessant face, un seul suffit.
5. Dans la pavillon Saint-Paul, au rez-de-chaussée, le couloir qui amène à la sortie nord (qui donne su Henri Bourassa).
6. Les conditions de présentations ne sont pas vraiment finalisées. Pour l’instant, il est certain qu’il n’y aura aucun besoin de système de son, télévision ou projecteur. Les médias ne seront pas nécessaires (SELON LE PROJET À CE JOUR !)
Un bon éclairage et un mur blanc seront la base essentielle.
Croquis plus détaillé du montage et des portraits

Voici un croquis plus détaillé de mon autoportrait. J'ai seulement mis la photo d'une personne mais ce sera tous des portraits différents. Dans la silhouette, il y a une superposition de textes avec des différents pourcentages de transparence.
Voilà un plan rapproché de mon croquis. Mes textes sont des phrases, des mots, des slogans de ce que les personnes me disent. Certaines phrases sont en portuguais et sont des citations mot pour mot de certaines personnes.

Pour les portraits, j'ai beaucoup de mal à faire des choix. J'aime beaucoup le résultat de cette photo. J'aime le fond lumineux et le fait que la photo ressemble à une photo d'identité comme celle que l'on prend pour une photo passeport par exemple. Par contre, je n'aime pas esthétiquement l'ensemble des portraits mis avec un fond blanc et c'est quelque chose que je dois considérer puisque on verra à première vue mon oeuvre en plan général.

Lieu de présentation: Moi et mémoire
Titre temporaire : Moi et ma mémoire
Description physique : Mon projet est un autoportrait (montage de portraits et de textes superposés) qui sera présenté sous forme d’une installation. Je ne suis pas encore certaine de sa dimension. Pour l’instant, mon travail sera imprimé sur un grand tissu mesurant environ 32 par 46 pouces. Je ne désire pas que mon œuvre soit accrochée au mur, elle sera plutôt suspendue pour mieux représenter la flexibilité du support. À côté de celui-ci, il y aurait un petit tabouret avec une bobine de fil et une aiguille pour symboliser la fragilité et l’évolution constante de l’identité.
Type d’espace et lieu: Je n’ai pas besoin de beaucoup d’espace puisque mon œuvre est une œuvre bidimensionelle avec une petite installation (tabouret). L’endroit parfait pour présenter mon oeuvre serait dans le carrefour qui relie les couloirs A, B et C au 2e étage. Il me faut un mur pas trop haut. Le coin qui fait face au mur ou il y a la télévision es parfait. Je ne veux juste pas qu’il y ait beaucoup de reflet sur mon œuvre, alors un bon éclairage mais qui ne sera pas trop lumineux. S’il m’est impossible de prendre ce coin, je n’ai pas d’inconvénient à présenter mon œuvre sur les murs près de la salle multi. Je ne suis pas difficile pour le choix du lieu puisque je n’ai pas de conditions particulières de présentation, tant que j’aie assez de place pour y installer mon tabouret et mon tissu suspendu.
mardi 16 mars 2010
Moi et ma mémoire: Échéancier
Semaine 9 -» 23 mars : Prendre le plus de photos de portraits possible
Semaine 10 -» 30 mars : Continuer à prendre mes photos et rassembler tout autre élément de mon montage.
Semaine 11 -» 6 avril : Faire le montage de mes photos.
Semaine 12 -» 13 avril : Continuer le montage de mes photos et impression de mon montage sur le tissu.
JEI du 21 et 22 avril : Impression de mon montage sur le tissu. Travailler sur l’aspect présentatif de mon œuvre, si je dois ajouter des éléments pour un assemblage avec l’impression.
Semaine 13 -» 27 avril : Présentation devant le jury
Semaine 14 -» 4 mai : Remise du texte critique et discussion
Moi et ma mémoire: Compte-rendu
Je n’ai pas prévu avoir beaucoup de matériaux pour mon projet étant donné que mon projet est un montage de photos. Ce que j’ai à considérer est principalement mon support d’impression et son coût. Comme je l’ai dit précédemment, je voulais imprimer mon montage (que j’aurais travaillé sur Photoshop ou Illustrator) sur un grand tissu. Pour le tissu, Je me suis informée sur ce qui est le mieux pour l’impression et on m’a dit que l’encre ne tiendrait pas sur le polyester et qu’il faut absolument un tissu 100% coton. (1 mètre = 2.49$) Je veux que ce tissu de coton ait une dimension de 2 par 3 mètres environ. Je suis présentement à la recherche d’un centre d’impression qui ne serait pas trop dispendieux, parce que l’impression sur tissu est excessivement cher.
Si il m’est impossible d’imprimer mon montage directement sur le tissu, je pense faire ce montage manuellement moi-même. Ce qui veut dire, que j’imprimerais les photos individuellement et que je les assemblerais sur le tissu de manière à former le contour d’une personne. Pour ce faire, je compte soit les coller avec de la colle chaude sur le tissu ou bien de les coudre tout dépendamment combien de photos il y aura.
J’ai ici 3 sortes de tissus en coton de même épaisseur, dont un est beige et les deux autres blancs. Les blancs se diffèrent un peu dans la confection. Je continuerai à faire des recherches quant au coût et je reviens la semaine prochaine avec une décision.
Explorations visuelles:
Tout d’abord, j’avais eu l’idée de faire ce montage en construisant un autoportrait. Mais je me suis vite rendu compte que faire ainsi un montage pour qu’il me ressemble, ça serait extrêtement complexe.

J’ai donc continué à trouver des idées. J’ai pensé tout simplement faire une série de portraits de personnes très différentes. Chacun des portraits seraient accompagnés d’un court texte qui décrirerait ce que la personne sur la photo pense de la notion d’identité et comment elle considère sa propre identité. Cette idée était plutôt pour développer l'aspect de flexibilité des définitions et des interprétations que l'on peut faire de l'identité.
Finalement, j'ai décidé d'intégrer toutes mes idées, soit d'utiliser des éléments de ma vie (portraits de personnes de mon entourage, événements..), mais au lieu que ces éléments soit le contenu du grand portrait que je veux représenter, ces portraits seront à l'extérieur de ce grand portrait. C'est donc ces photos qui donneront forment à la silhouette. Dans cette silhouette, je ferai un montage de superpositions de textes (mots et phrases) qui me sembleront importants. C'est tout ce qui sera marquant pour moi, chez ces personnes ou ces éléments, traduit en mots. Je ne sais pas encore exactement il y aura de portraits. Je compte faire un croquis plus détaillé d'ici la semaine prochaine.
Après mûre réflexion, j'en suis convenue que ce grand portrait serait également un autoportrait comme l'idée que j'avais au départ. Il ne devrait pas nécessairement me ressembler pour qu'il devienne mon autoportrait puisque, par définition, on ne pourrait décrire pafaitement l'identité d'une personne, car évolue toujours, ce qui fait de l'identité quelque chose de complètement ambigüe. De plus, l'identité n'est pas le résultat d'un corps ou d'une apparence, mais bien une reconnaissance de soi et des autres par la mémoire.
Pour les tests et essais, ça sera bientôt disponible. Je me suis acheté une caméra, alors je compte commencer très bientôt déjà mes photos de portraits.
(Désolé si les photos sont rotationnées, je me suis battue avec le blog pour essayer de les mettre à l'endroit, je ne sais pas pourquoi il me les mets à l'envers)
mardi 9 mars 2010
LINDA - Inventaire de cours
Badminton : -
Calcul différentiel : -
Mécanique : La physique des choses, avoir un esprit plus logique
Philosophie et rationalité : Avoir de bon argument
Écriture et littérature : Améliorer mon français
Langue anglaise et culture : Études de relations sociales
Musculation : Respecter un échéancier (aller au gym)
Philosophie et rationalité : Se poser énormément de question (C’est quoi la vie?)
Programmation en C : -
Communication visuelle : Les notions de compositions
Littérature et imaginaire : Écrire des textes
L'être humain : Étudier des philosophes qui avait des théories sur les relations de l’être humain
Introduction à la photo et à la vidéo : Principe de base de la photographie
Exploration du domaine des arts : Études de différents artistes et visites d’endroit artistique de Montréal
Langage visuel I : Les couleurs et les harmonies
Dessin : Pratiquer des esquisses
Activités physiques et gestion du stress : Respecter un horaire (Projet de session)
Art et ordinateur I : Base de Photoshop
Projet dessin : Améliorer mon dessin
Langage visuel 2 : Notions de composition
Littérature québécoise : Écriture et lecture de nouvelle
Méthodes quantitatives en sciences humaines : Observer et faire des liens (corrélation)
Création de pages WEB : -
Peinture et sculpture : À travailler les installations
Art et ordinateur II : Travailler avec Illustrator
Français propre au programme : Étudier beaucoup de théorie de psychologie
Production théâtrale : Organisation, imagination et création
LINDA - Échéancier
Échéancier (Temporaire, doit être revu après rencontre avec Gilbert)
Cours 8--> 16 mars:
Travailler sur mes mises en scène.
Cours 9--> 23 mars:
Faire de la photo
Cours 10--> 30 mars
Faire de la photo
Cours 11--> 6 avril:
Faire de la photo
Cours 12--> 13 avril:
Retoucher les photos avec Photoshop
JEI du 21 et 22 avril:
Impression des photos
Cours 13--> 27 avril
Présentation du projet devant jury
Cours 14--> 4 mai
Remise du texte critique et discussion
LINDA - Compte rendu du 9 mars
Compte rendu du 9 mars
Recherche:
A) A) de matériaux:
J’ai cherché quelques centres de développement photo pour faire des grandes impressions. Bureau en gros est la plus accessible pour le prix (24 par 36 = 20$) mais je vais continuer à chercher quelque chose de plus qualité.
Aussi, j’ai écrit des petites histoires qui reflètent mes expériences ou celles des personnes autour de moi. Elles seront ma base pour m’inspirer pour mes situations dans mes photos. J'en ai écrit 5 jusqu'à maintenant mais c'est quelque chose qui m'a énormément aidé alors je vais surement en écrire d'autre.
B) B) Tests techniques:
J’ai fait un peu de photo en centre-ville (2 fois dans la dernière semaine). Ce n’était vraiment pas efficace, il n'y avait rien qui puisse être utilisé. La raison est simple : de la photo prise sur le vif, ayant comme thème mon sujet, est très difficile à faire avec ou même sans le consentement (dans le cas où on voit pas le visage des gens dans la photo) des personnes. De plus, j’ai réalisé que pour faire de la photo en centre-ville pour photographier les réactions entre les gens, il faut être dans la masse de gens qui marche dans les rues. Bref, extrêmement difficile d’avoir quelconque résultat.
Cette expérience m’a permis de réaliser que de la photo sans mise en scène sera quasiment impossible à effectuer sans le consentement des gens.
C) C) Explorations visuelles
J’ai a peine commencer à travailler mes explorations visuelles car j’ai eu beaucoup (énormément) de fil a retorde avec les étapes précédentes et j’ai du clarifier des choses avant de continuer. Par contre, je pense que je vais surement recréer les moments qui m’ont inspiré pour le sujet de mon projet.
Je ferais une grande photo par scénario (hypothèse pour l’instant!!! Je dois faire encore un peu de recherche sur les plans techniques et visuels pour cette idée).
LINDA - HISTOIRES
Histoire no. 1 :
C’est le temps de noël et tout le monde autour de moi se presse à terminer leurs achats de cadeau. Ils s’inquiètent à savoir si leur cadeau est à la hauteur, s'il va plaire à la personne à qui il est destiné. S'il faut donner un cadeau à l’amie de la blonde du fils du cousin... Etc. Je déjeune dans la cuisine et je me mets à feuilleter le journal de Montréal que mes parents se procurent lorsqu’ils ne veulent pas nécessairement lire 45 pages à propos de la politique. Un article sur les vœux de noël d’itinérants attire mon attention. Je ressens une certaine culpabilité face à leurs souhaits. Certains souhaits sont simplement un repas chaud ou une couverture pour passer le réveillon. C’est des gens qui vivent dans la rue mais que personne ne remarque. Personne ne se rappelle de leur visage.
Histoire no. 2 :
Je suis dans l’autobus qui m’amène chez moi. C’est un assez long trajet : 50 minutes dans ce bus seulement. Il est rarement plein à craquer, il y a seulement quelques personnes debout des fois. Cette fois je me retrouve debout avec une autre femme, d’un certains âge. Premièrement, personne ne lui offre sa place mais là n’est pas le problème. Elle échappe un rouge à lèvre quand elle tente de sortir quelque chose de sn sac. Elle demande à un homme dans la vingtaine qui est assis près d’elle si il ne peut pas lui ramasser son rouge à lèvre qui s’est retrouvé à ses pieds. L’homme en question écoute son Ipod avec des écouteurs sur les oreilles et il est surpris que la madame l’interpelle. Il semble se dire qu’il ne veut pas converser avec une vieille femme alors il se retourne et fait comme si de rien était. Finalement, c’est moi qui est allé ramasser le rouge à lèvre.
Histoire no. 3 :
Un jour, je me rendais dans l’est de la ville, proche du stade olympique pour aller manger au resto avec mes amis. Ne connaissant vraiment pas le coin, j’avais vérifier le trajet en transport en commun sur l’internet avant de partir, mais une fois débarquer du dernier autobus, je ne me retrouvais plus. En appelant mes amis, leurs téléphones n’avaient pas de service alors j’ai compris qu’ils étaient encore dans le métro. J’ai essayé d’obtenir de l’aide auprès des gens dans la rue mais aucun n’a voulu répondre à mes questions. Ils pensaient que je voulais de l’argent ou leur faire signer une pétition. Après 20 minutes et 6 tentatives, je me suis fatigué d’avoir l’air aussi ridicule et j’ai attendu mes amis qui étaient en route dans le métro.
Histoire no. 4 :
En sortant du métro Guy Concordia une samedi soir avec mon petit copain pour aller rejoindre des amis, nous avons remarqué une vieille femme dans le métro avec des sacs d’épicerie dans les long escalier qui sont difficile à monter, même pour une personne en bonne forme physique. Elle semblait vraiment avoir de la misère mais personne ne s’est arrêter pour lui demandais si elle avait besoin d’aide. Au contraire, les gens accrochaient ses sacs d’épicerie sans y faire trop attention ou s’excuser. Nous lui avons offert notre aide et j’ai immédiatement vue la gratitude dans son visage et son soulagement. Elle nous a expliqué qu’elle avait un problème assez sérieux avec ses genoux et qu’elle attendait depuis 8 mois pour se faire opérer. Rendu sur la rue à l’extérieur, elle nous a offert un 5$ pour nous remercier mais nous l’avons refusé. C’était ridicule, ca nous avait littéralement prix 2 minutes de notre temps.
Histoire no. 5 :
Un couple se dispute au coin d’une rue. Les gens regarde, s’arrête même mais personne n’intervient. Leur conversation se transforme en cris et en insulte. Il commence à se gifler mais personne ne fait rien. L’homme avec qui la femme se querelle semble sur le point de vraiment perdre le control mais se retient juste à temps. La femme part en pleurs et l’homme quitte dans une autre direction. Personne n’est intervenu. Qu’est ce qu’il aurait fallu pour que quelqu’un fasse quelque chose au lieu de simplement regarder ?
Ces histoires sont un brouillon de mes mises en scène. Je vais surement en écrire d’autres et les modifier.
mardi 23 février 2010
Synthèse: Moi et ma mémoire

À la suite de plusieurs recherches faite sur les conséquences de l’influence sociale sur l’individu et sur la notion d’identité en générale, je suis aboutie à un sujet de recherche précis qui est celui de la flexibilité de l’identité. Je m’inspirerai de la théorie du philosophe John Locke qui affirme que l’identité d’un individu est établit par notre mémoire. Ces deux notions, mémoire et identité, n’ont pas de définitions précises puisqu’elles changent constamment et, par conséquent, sont en perpétuelle évolution.
En établissant un lien avec les souvenirs qui composent la mémoire et une image, j’ai décidé d’utiliser comme médium principal la photographie. En effet, la photographie garde des souvenirs des expériences et des événements passés. J’ai d’abord pensé à faire une série des portraits, puis j’en suis venue à la conclusion que mon sujet pouvait ouvrir à beaucoup plus que cela. Je me suis concentrée sur une idée : Tout comme l’identité est définie par plusieurs aspects tels que les expériences ou les valeurs, je veux garder à l’esprit que ce sera un ensemble d’éléments mis ensemble qui formeront mon œuvre.
Mon idée va comme suit : je voudrais réaliser un autoportrait dans le but de connaître mieux mon identité à moi. Cet autoportrait sera en fait un montage de photographies différentes choisies selon des éléments qui me décrivent ou m’influencent, bref, tout ce qui sera symbolique pour moi. Je ferai donc de la manipulation d’image à l’aide des différents logiciels que j’aurai expérimentés durant mon DEC. Je prendrai donc des photographies de portraits de mes amis, de gens que je côtois qui m’influence et de ma famille, mais j’intégrerai également des objets, d’événements du passé, de l’enfance et de tout autre élément qui me rejoint et qui décrit mon identité.
Pour l’aspect technique, je me baserai sur une photographie de moi-même et je lierai les images par les teintes et les formes. Pour ce qui est de mon support, je crois que le mot flexibilité est très important. Je souhaite éventuellement faire imprimer cet autoportait sur un grand tissu qui s’effilochera un peu dans le bas pour symboliser la fragilité de mon identité qui est facilement changeable. Pour illustrer l’aspect d’évolution dans cette identité, je voudrais que dans une extrémité du tissu on puisse voir la confection de ce tissu, peut-être par une certaine main tricoteuse.
Bref, je veux représenter l’ambigüité de l’indéfinissable identité qui est différente pour chacun par un autoportrait qui sera composé de plusieurs photographies symboliques.
Linda- Synthèse
Synthèse : L’individualisme
Avec des recherches fructueuses et concluantes, mon sujet sur l’individualisme dans la société est maintenant à un stade très avancé. Pour refaire un cours résumé, mon travail se précise autour de la réaction des gens face aux autres, de leur indifférence pour le quotidien d’autrui. Mon angle d’approche est avant tout sociologique mais aussi psychologique. Les réactions et les interactions sont des aspects important de ma recherche. Tous les outils fournis par ma recherche et mes étapes de créations viennent appuyer le choix de mon médium, celui de la photo. Le choix de cette dernière s’explique par le fait que je pense que la photo est le miroir le plus réaliste et honnête que l’on puisse trouver. Si la photo est prise sur le vif, les éléments qui s’y retrouvent sont une représentation exacte d’un moment et/ou d’une émotion. Dans le cas d’une mise en scène, la photo représente une reconstitution d’un événement.
La photo, lorsqu’elle n’est pas de la mise en scène, est impossible ou presque à prédire. C’est pourquoi mon résultat final est très difficile à visualiser. Par contre, je sais déjà approximativement quelles seront les étapes de création de mon projet. Premièrement, je veux étudier mon sujet d’un point vu plus rapproché, c’est pourquoi je compte me promener dans le centre urbain de Montréal pour observer et étudier l’interaction entre les gens. Après quelques séances de photos, je conclurai si mes clichés sont accès pertinent pour être utiliser et modifier pour mon projet ou si je devrai faire de la photo mise en scène. Si tel est le cas je ferai appel à des figurants pour mes photos mais le lieu se situera toujours en centre ville.
Par la suite, il est très probable que je modifie les photos à l’aide de Photoshop. La résultat espéré n’est pas de type science-fiction mais bien documentaire avec une touche artistique. Je veux avant tout modifier les teintes, les éclairages, le cadrage, la composition, etc. tout en gardant l’aspect réel de la photo.
L’affichage ou l’installation de mon exposition n’est pas encore certaine mais si les clichés le permettent, je veux exposer une grande quantité de photo. Dans le cas ou je juge que je n’ai pas une assez grande quantité de photo pour faire une exposition, je veux fabriquer une installation où mes photos ne seront pas simplement accrocher, je rendrais le tout plus interactif.
lundi 15 février 2010
Moi et ma mémoire
J’ai précisé le but de mon projet. Mon sujet maintenant se portera sur la flexibilité de l’identité. Ma recherche a été faite sur deux approches, sociologique et philosophique, qui partagent un aspect commun de l’identité : celle-ci ne reste jamais la même puisqu’elle se construit par notre vécu. Elle se décrit par les expériences, l’environnement, l’époque et toute la société en se reflétant dans nos valeurs, nos attitudes et nos comportements. Cependant, j’ai réalisé que l’approche philosophique correspondait mieux à mes intérêts. En me basant sur la théorie du philosophe John Locke de l’identité établit par la mémoire, je voudrais démontrer que ce qu’on est, c’est l’ensemble des souvenirs et des expériences qui enrichissent notre pensée et qui font de nous des êtres différents l’un de l’autre. Notre identité, perçue différemment par soi-même et par les autres, change constamment et, par conséquant, est en perpétuelle évolution.« In Locke’s view, a person’s identity extends to whatever of his or her past he or she can remember. Consequently, past experiences, thoughts, or actions that the person does not remember are not part of his identity. For Locke, identity and selfhood have nothing to do with continuity of the body, or even continuity of mind. Selfhood consists entirely in continuity of memory. A person who remembers nothing of his or her past literally has no identity. »
Une de mes idées serait, entre autres, de démontrer une certaine dualité entre la perception que les autres ont de notre identité et ce que nous, dans notre individualité, nous considérons être notre identité. Je voudrais également représenter cette infinité de définitions et de perceptions qui font qu’on ne pourrait jamais vraiment décrire l’identité d’un inidividu. Mon but est d’amener les gens à se questionner sur la notion générale d’identité et, par le fait-même, leur propre identité.
vendredi 12 février 2010
Les émotions
Lors de mes recherches j'ai trouvé des sites sur Charles lebrun qui lui décrivait beaucoup les émotions: ex la colère, la peur, l'excitation...il pouvait décortiquer le visage et décrire une expresion dans les moindres détails. Ce serait donc 1 des points qui m'intéresserais. Prendre ses descriptions et demander a des personnes de les reproduires vois s'il est possible de simuler cette réaction (émotions) sans vraiment la ressentir.
Par la suite, il y a un autre perspective qui m'intéresse beaucoup. Ce serait de faire une oeuvre (peinture, installation..peu importe) qui aurait pour but de faire ressentir une émotions particulière. Faire ressentir de la joie à une personne qui va regarder telle peinture, ou qui va se retroubé dans un installation préalablement conçue à cet effet.
Pour fini, la troisième possibilité serait de faire des oeuvres qui pour moi représente certaines émotions. Qu'est-ce que la colère, la joie...etc
Ce soit les idées qui reviennent le plus souvent lors de mes recherches et qui m'intriguent le plus. Je ne sais pas encore sur laquelle précisément je vais travailler, peut être même que les trois seront en partie dans mon projet, mais pour le moment je ne m'arrête pas à un choix précis. Je vais contionuer mes recherches et voir ce qui me semble le plus réalisable et le mieux.
mardi 9 février 2010
Site de World Press Photo pour Laurence - Linda
Développement du projet (Points plus précis!) - Linda
Le sujet de mon projet d’intégration va porter sur l’individualisme dans la société. Je vais aussi étudier trois aspects de l’individualisme qui selon moi sont trois des causes principales; l’ignorance, l’Effet du témoin et la désensibilisation par les médias. Mon but est de faire réfléchir les gens et de les rendre plus réceptif à ce qui se passe autour d’eux. Mes intentions de recherche sont de comprendre comment et pourquoi l’homme contemporain en société, surtout en centre urbain, est devenu aussi froid et distant aux problèmes qui l’entoure. L’itinérance, la violence domestique et conjugale, les agressions, l’intimidation, etc. Pourquoi l’homme ne vient pas à la défense d’autres individus? Pourquoi n’aide t’il pas son prochain? Un des sujets que j’ai le plus approfondis est l’itinérance. Ce sont des personnes que l’on côtoie tous les jours mais la plupart d’entre nous les ignore et préfère ignorer le problème. Ma recherche ne va pas porter sur l’itinérance mais bien sur la réaction de la société envers l’itinérance. Un autre sujet sur lequel je veux me pencher est l’Effet du témoin. Lorsque un groupe de personne de taille importante assiste à une agression ou un événement violent, la majorité n’intervient pas car il présume que quelqu’un d’autre le fera à leur place. C’est pourquoi des personnes meurent à chaque jour de violence domestique ou autre sans que personne n’intervienne malgré la connaissance du problème. Certes, la plupart des cas sont plus compliquer que cela mais ce qui m’intéresse c’est pourquoi est ce que le citoyen est aussi centré sur lui même et n’intervient pas pour aider ou défendre des inconnus. Mon angle d’approche sera bien sur sociologique et psychologique.
lundi 1 février 2010
La résilience
Le sujet de mon projet d’intégration est la résilience observable chez certain individu face à des situations catastrophiques (catastrophe naturelle, manque de nourriture, pauvreté, guerre, etc.)Mon but est de capter ce sentiment, de réussir à le reproduire dans un projet et de cette manière, sensibiliser les spectateurs. Qu’on se questionne sur eux et sur ce qu’ils vivent. Pour ce faire je veux utiliser les expressions faciales, les portraits.
Pour le moment j’aimerais que ce projet soit fait en trois parties différentes (soit 3 situation catastrophique). Elles seraient probablement représentées sous forme de diptic combiné (un qui représenterait l’environnement et l’autre la personne). Il y aurait, pour ainsi dire, parties différentes.
vendredi 29 janvier 2010
Linda - La désensibilisation de la société
Le sujet de mon projet est l'individualisme dans la société. Je veux étudier la situation sociale des grandes villes et le comportement de désensibilisation envers les autres qu’on y retrouve.
Mon but est de démontrer et d'analyser mon point de vue en représentant des endroits ciblés de la ville (surtout au centre-ville) qui sont des exemples d'individualisme. Je veux utiliser la photographie urbaine et peut être un mélange de photo documentaire mais esthétique.
Je veux utiliser la photographie pour développer un coté épuré et esthétique. Je pense peut être faire des photos qu'en noir et blanc pour mieux représenter mes intentions. L'utilisation de figurants dans mes clichés est plutôt inévitable mais je compte approfondir cette idée.
La possibilité d'inclure du son n'est pas exclue mais je n'en suis pas encore rendu là.
Mes inspirations ne sont pas encore très claires mais le style de l’œuvre de Helen Levitt ou de Walker Evans se rapproche un peu de ce que je veux faire. Par contre, je n’ai pas encore trouvé une inspiration qui se rapproche de mon sujet. Celui qui s’y rapproche le plus est Henri Cartier-Bresson.
Mon inspiration m’est venue après avoir lu un article sur les itinérants de Montréal pendant le temps des fêtes. Ces derniers exprimaient leurs plus profonds désirs pour Noël mais c’était plutôt des besoins fondamentaux comme de la nourriture ou un toit. Je veux étudier la désensibilisation de la société envers ces gens qui vivent dans la rue.
Je sais que plusieurs artistes des années 80 se sont arrêtés sur la question mais je n’ai toujours pas trouvé d’artiste en particulier.
Linda

